Donne-moi la main en VoD - Film de Pascal-Alex Vincent - en Streaming et à Télécharger - UniversCiné VoD (2023)

Libération

à propos de

Donne-moi la main

" Donne-moi la mainpeut bien se dérouler dans le sud de la France, entre la vigne et l’autoroute, il ressemble quand il veut à un film japonais. Dans le regard de Pascal-Alex Vincent, même androgynie permanente des visages (les deux frères, objets du désir de chaque plan), même pureté graphique (un format scope qui prend l’oxygène, une lumière blanc pâle qui redessine chaque silhouette), même tranquillité dans l’utilisation de la musique (signée des Allemands atmosphériques de Tarwater). Et puis des stations-service comme dans les films de Shinji Aoyama, avec des filles prêtes à vous suivre et surtout le minimum de bavardage. Tout doit être dit à l’image."

Philippe Azoury

Première

à propos de

Donne-moi la main

" Outre sa beauté formelle, son écriture épurée, sa façon de gérer le temps en le laissant se dilater, Donne-moi la main vaut aussi pour sa façon de ne jamais évacuer les douleurs de ce voyage à deux. Derrière un début façon manga (l’une des passions du réalisateur) se cache un film grave et lumineux, limpide et plein de secrets. Une réussite très prometteuse."

Didier Roth-Bettoni

Les Echos

à propos de

Donne-moi la main

" Le cinéaste filme ses deux formidables acteurs, Alexandre et Victor Carril, avec une infinie tendresse. Les scènes d'amour sont splendides, presque dionysiaques. Les scènes de combat entre les deux frères, dans leur violence désespérée, rappellent l'insoutenable difficulté qu'ont les hommes à vivre ensemble, à simplement se supporter. Fable troublante, Donne-moi la main est avant tout une promenade sensuelle qui convoque Gide et Rimbaud. Pascal-Alex Vincent a l'âme des poètes. "

Philippe Chevilley

Chronic'Art

à propos de

Donne-moi la main

" La poésie, qui se dégage de simples plans-séquences de marche pédestre, révèle un œil capable de capter la beauté d'un paysage éphémère, d'une météorologie aléatoire, d'un état panthéiste de l'Hexagone, malgré ses contours flous."

Yann François

Télérama

à propos de

Donne-moi la main

" Des paysages que ses héros traversent, Pascal-Alex ­Vincent (premier long métrage après des courts remarqués) fait un décor irréel et poétique : du Terrence Malick en minia­ture. Les cieux immenses semblent échappés deLa Balade sauvageet l'exploitation agricole où les jumeaux travaillent, quelques heures, rappelle (certes en plus modeste)Les Moissons du ciel. "

Pierre Murat

vergaracezera@gmail.com au sujet de Donne-moi la main